Le rapport de cette étude souligne notamment des émissions d’oxydes d’azote (NOx) par les véhicules diesels supérieures à celles des essences, qui émettent quant à eux plus de particules fines que les diesels ; les deux motorisations restant sous les valeurs d’homologation sur banc et en condition de roulage réelle. S’il convient d’intégrer les données de cette étude dans la recherche par les équipementiers de nouvelles solutions toujours plus éco- responsables, la FIEV sera vigilante à la prise de décision politique suite à cette étude et rappelle l’importance de la neutralité technologique.
La FIEV salue la commande de cette étude par le gouvernement. Ce sont des données factuelles, produites avec pertinence par un institut indépendant, que les équipementiers automobiles de France vont intégrer à leurs travaux pour poursuivre leur transition vers des équipements toujours plus performants en matière écologique.
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